Re-connexion ssh avec ssh-copy-id préalable pour simplifier le login ssh.Remarque : bien qu’ayant activé l’I2C, j’ai constaté que le module n’était pas ajouté dans /etc/modules. De toute manière, vous pourrez toujours le modifier par la suite si nécessaire. memory split : régler au minimum pour le GPU, soit 16M, puisque de toute manière nous allons utiliser notre RasPi en headless la plupart du temps (en contrôleur de robot a rarement un desktop graphique).Change hostname : ’’rospi’’ (pas indispensable, mais à force d’avoir un tas de RasPi, je préfère leur donner des noms différents).Keyboard layout : French default (ça peut servir si vous cassez la config réseau un jour).Change Locale : en-US (default), et fr-FR au cas où (ou mettez fr-FR par défaut si vous préférez une RasPi francophone).Visitez les options suivantes et faites les réglages indiqués : De plus ça permet de faire des copier/coller de la console de la RasPi pour alimenter cette documentation Personnellement je préfère cela à l’utilisation d’un clavier et d’un écran HDMI avec faux contacts (c’est le cas de la TV à deux balles qui me sert de moniteur HDMI). Commencer par l’expand du file system comme d’habitude, et activez le serveur ssh si nécessaire. TODO : trouver un moyen de mettre cette image en ligne Versions utiliséesĭémarrer la RasPi avec l’image flashée sur votre SD card, avec clavier USB et écran connectés. Vous devrez donc disposer d’une carte de 8G pour utiliser cette image. L’archive compressée pèse 1.8G, mais a été faite à partir d’une carte de 8G, 4G étant trop juste pour être certain de ne pas avoir de problèmes lors de la compilation. Pour permettre à ceux qui seraient intéressés par gagner du temps (qui ne le serait pas ?), j’ai créé une image de la carte SD obtenue à l’issue de toute cette procédure, correspondant à l’installation opérationnelle accompagnée de quelques programmes simples de test de bon fonctionnement en Python. Or une Raspberry ce n’est pas un quad-core, et compiler un gros paquet de lignes de code C/C++ prend un certain temps, comme aurait dit Fernand Raynaud. Le temps de la manip est assez conséquent (je l’ai laissée tourner la nuit histoire de me ménager un peu de sommeil), car qui dit installation from sources dit compilation. Ma contribution est au niveau de la résolution du blocage constaté au moment de la résolution des dépendances.Įtant donné qu’il n’existe pas de distribution packagée de ROS pour la Raspberry et qui soit récente, contrairement à d’autres environnements, il s’agit donc d’une installation à partir des sources, qui va demander un peu d’huile de coude et d’heures de travail. D’où l’absence de commentaires particuliers. ![]() Les travaux ont été en très grande partie basés sur le Wiki de ROS, et plus particulièrement sur cette page. Cet article retrace mon cheminement pour installer la dernière version de ROS à ce jour (Indigo) sur une RaspberryPi sous Debian/Wheezy.
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